Les bons et mauvais côtés de la fellation

Les hommes l'apprécient beaucoup, les femmes souvent un peu moins. Pourquoi cette pratique du sexe oral divise-t-elle autant ?

Quels sont les freins à une fellation ?

Du point de vue de celui qui la fait

« C’est une position de soumission » : ah bon ? Qui maîtrise et prend les choses en main (ou plutôt en bouche) ? Et qui au contraire s’abandonne ? Qui prend le risque de se faire mordre ? Bref, argument en carton, davantage lié à nos us et coutumes qu’à autre chose.

« J’ai peur de mal faire » : il n’y a pas grand chose à savoir, sinon d’éviter de faire à autrui ce que l’on n'aimerait pas qu’il nous fasse : mettre les dents (ou alors très légèrement), être trop mou ou trop rapide, bâcler, s’occuper uniquement du pénis et non du reste. Et, bien évidemment, il est bon d’être réceptif aux signaux conscients ou non que vous envoie votre partenaire. Pareil que pour un cunnilingus en somme : s’écouter et laisser parler son imagination est encore le meilleur moyen de bien faire.

« Ca me dégoûte » : poils dans la bouche, odeurs inconfortables, pénis trop enthousiaste qui s’engouffre au fond de la gorge, la fellation n’est pas une pratique évidente. Alors, on ne se force pas. Jamais. Comme le reste, c’est une question de désir avant tout. Si on veut outrepasser ce frein, on peut bien essayer d’y aller petit à petit, faire comme si le pénis était un bâton de sorbet ou l’enduire de chocolat pour qu’il soit vraiment alléchant.

« Je ne prends pas de plaisir moi » : idem, inutile de s’y coller si on ne prend pas son pied car qui aimerait recevoir une caresse forcée ? Cependant, même si on pourrait croire que dans le sexe oral plus que dans une pénétration l’un donne et l’autre reçoit, bien des personnes éprouvent beaucoup de plaisir à en donner. Celles-ci sont donc très excitées par le fait de faire une fellation ou un cunnilingus. Et puis, il y a aussi l’option 69 !

« Aujourd’hui c’est le passage obligé, si tu ne suces pas tu n’es pas normale » : Bien sûr il ne s’agit pas de rentrer dans la norme, mais pas non plus de penser que c’est l’influence du porno qui systématise les rapports sexuels oraux. Car c’est faux : on trouve des fresques de scènes de fellations à Pompéi ainsi que sur des bas-reliefs hindous, les papyrus de l’Égypte antique et la Rome antique. Disons plutôt que ce sont les religions qui l’inhibait jusque là.

Du côté des bienheureux receveurs

« C’est sale ! » : souvenez-vous de ce dialogue dans Mafia Blues où Robert De Niro se confie à son psy :
-  « Vous ne vous entendez plus avec votre femme ?
- Non, ça va très bien.
- Alors pourquoi couchez-vous avec une prostituée ?
- Bah, je peux faire des trucs que je ne fais pas avec ma femme.
- Et pourquoi ne le faites-vous pas avec votre femme ?
- Hey ! C’est la bouche qui embrasse mes gosses ! »
Que répondre sinon : achetez-vous une brosse à dents !

« Je n’aime pas mon pénis » : les pénis n’ont parfois pas confiance en eux ou alors ont peur d’importuner leurs partenaires. A ceux-là je voudrais dire que se montrer propres et polis suffit à être présentables. Nous sommes tous différents, les phallus aussi, il est donc inutile d’en avoir un stéréotypé pour que quelqu’un trouve plaisir à l’embrasser. Beaucoup de vagins refusent les cunnilingus pour ces mêmes raisons, c’est bête.

Le plaisir de donner ou de recevoir

Comme toute chose, la fellation a les avantages de ses inconvénients.
Parmi lesquels :

• le fait de donner du plaisir à quelqu’un, ce qui n’est pas rien, sans compter celui qu’on peut prendre à le faire, d’avoir le sentiment qu’on embrasse l’autre dans sa totalité et dans son intimité (pour celui qui l’offre),
• ou de recevoir ce cadeau et de s’abandonner totalement (pour l’autre).

Qui plus est, la fellation se pratique dans bien des positions et permet donc de varier les plaisirs.
Mais l’Amour, au risque de passer pour vieux jeu, c’est LA bonne raison de faire une fellation ! Il faut beaucoup de confiance et de respect réciproque pour être à l’aise avec ce genre de pratiques.
A savoir : dans Le rouveau rapport Hite, publié en 2000 (éd. J'ai Lu), 95 % des hommes disent préférer la fellation à n'importe quoi d'autre. Mais attention : à chaque homme la sienne !

Questions/réponses autour de la fellation

On va jusqu’au bout ? Tout dépend de… tout. Si on veut faire l‘amour ensuite plutôt non. Ou si on en a marre, si on est fatigué, si on n'a pas/plus envie finalement, ou si le monsieur est désobligeant, ou si lui ne veut pas/plus, finalement.

On avale ? On fait comme on veut, je crois, mais il faut savoir que si le sperme contient plein de bonnes choses il peut aussi en contenir de mauvaises.

On se protège ? Quand on n’a pas fait les tests adéquats OUI, car le sperme est un agent contaminant des infections sexuellement transmissibles comme le sida ou l'hépatite B. Ceci dit, le risque est moins élevé que lors d‘un rapport sexuel.

(Source)

Vertus et bienfaits de la fraise

La fraise est de retour pour le plus grand plaisir de nos papilles ! Grand allié santé de l'été, découvrez vite tous ses bienfaits !

• Protège les yeux 

Les propriétés antioxydantes de la fraise permettent de lutter contre la formation de la cataracte, une opacité progressive du cristallin de l'œil, qui peut entraîner un aveuglement partiel ou total avec l’âge. La vitamine C contenue dans la fraise protège également les yeux contre l’exposition aux radicaux libres émanant des rayons UV du soleil : parfait pour l’été !

• Prévient le cancer

La teneur en vitamine C et en acide ellagique de la fraise aident l’organisme à prévenir le cancer. La vitamine C stimule le système immunitaire, qui reste la meilleure défense de l’organisme. L’acide ellagique, quant à elle, freinerait la croissance des cellules cancéreuses.

• Antiride naturel

Consommer des fraises favorise la lutte contre le vieillissement de la peau. La vitamine C est essentielle à la formation du collagène. Les fraises favorisent ainsi une peau plus saine, plus jeune et embellissent le teint.

• Laxative et diurétique

Les fibres contenues dans la fraise sont nécessaire à la bonne digestion. Les fraises permettent donc de lutter contre la constipation ou l’inflammation de l’intestin. Les fibres aident également à combattre le diabète de type 2.

• Lutte contre le mauvais cholestérol

L’acide ellagique et les flavonoïdes que renferme la fraise possèdent des effets antioxydants bénéfiques pour le cœur. Ce sont de puissants stimulants de la santé cardiaque qui neutralisent le mauvais cholestérol sanguin et ont un effet anti-inflammatoire bon pour le cœur.

• Favorise la santé prénatale

La fraise est une bonne source de vitamine B ou folate recommandée aux femmes enceintes ou qui souhaitent le devenir. Durant les premiers stades de la grossesse, le folate participe au développement du fœtus. Enfin, l’acide folique aide à prévenir certaines malformations congénitales.

• Lutte contre l’hypertension

Source de potassium, la fraise favorise la santé du cœur et aide à régulariser la tension artérielle. En quantité suffisante, le potassium peut même faire baisser l’hypertension.

• Allié minceur

33Kcal/100g, les fraises sont faibles en calories et riches en nutriment. Cet été, pour vos petits plaisirs sucrés, laissez le chocolat de côté et favorisez la fraise !

Idées de recettes à base de fraises :
Riz au "lait" vegan aux fraises
Une tarte fondante aux fraises et à la crème pâtissière
Jus fraise-tomate-verveine

Avant d’apprendre à coder pour Android, pourquoi ne pas mieux connaitre le système d’exploitation ?

Même si vous êtes un grand fan d’Android (peut-être même si vous codez pour Android), il se peut que vous ne sachiez pas (ou avez oublié) que le premier mobile sous l’OS de Google fut un HTC.
Plus précisément, il s’agissait du HTC Dream, sous Android 1.0. Il est sorti en 2008, en même temps que la première version stable du système d’exploitation.
Depuis, Android a pas mal évolué. La dernière version en date est Lollipop qui, rappelons-le, a apporté le nouveau langage graphique appelé Material Design.
La prochaine version sera Android M. Pour le moment, elle n’est disponible qu’en preview sur les appareils Nexus et son nom de dessert n’est pas encore connu.
Cependant, comme Google l’a expliqué durant sa dernière conférence I/O, Android M apportera aussi son lot de nouveautés, dont un support au niveau de l’OS des scanners d’empreintes digitales, une meilleure gestion de la batterie, etc.
Entretemps, Android s’est décliné en d’autres versions pour d’autres types d’appareils. Il y a Android Auto pour les voitures, Wear pour les montres et Android TV pour les télévisions.
Tout cela, vous devriez plus ou moins le savoir si vous êtes développeur et si vous vous intéressez de près au système de Google qui, rappelons-le, est le système d’exploitation mobile le plus utilisé au monde.
Mais hors de question de lire une documentation de 36 pages pour apprendre tout ça. Cette petite infographie créée par The Smartphone Compagny et Android Headlines (malheureusement en anglais) résume tout, de 2008 à 2015.

Le moyen le plus simple de transférer des fichiers de votre PC vers votre mobile Android

Ça facilite vraiment la vie.

Si vous avez lu notre article « 3 applis qui vous éviteront d’être scotché à votre smartphone au bureau », vous connaissez peut-être déjà Pushbullet. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’une application de productivité qui permet de transférer des images, des textes, des liens ou plus généralement des fichiers entre un smartphone et un PC.

Aujourd’hui, Pushbullet sort une nouvelle application appelée Portal. Son utilité c’est qu’elle permet de transférer des fichiers d’un ordinateur vers un smartphone (Android) et seulement ça. Là, vous me demanderez peut-être quelle est la différence entre Pushbullet et Portal.

Tout d’abord, Portal est plus rapide. Sur Pushbullet, ce que vous envoyez depuis votre PC est d’abord envoyé sur un serveur, avant d’être renvoyé sur le mobile. C’est lent et si on utilise la 3G, pas forcément économe.

Sur Portal, les fichiers sont transférés via le réseau WiFi local, en supposant que les deux appareils sont connectés au même réseau. Mais ça, ce n’est pas nouveau.

Seulement, la particularité de Portal, c’est son incroyable simplicité. Une fois qu’on a l’application sur son smartphone, il suffit, depuis le PC, d’aller sur portal.pushbullet.com, de scanner un QR Code avec le mobile, puis de faire des glisser déposer sur l’ordinateur pour envoyer les fichiers vers le mobile.

C’est si simple, rapide et en plus, ça permet même d’envoyer de gros fichiers (ce qui n’était pas vraiment possible sur Pushbullet).

Vous pouvez désormais éditer vos documents Office depuis Box

Si vous utilisez Box et Office 365, alors c’est votre jour de chance.

Microsoft vient d’annoncer une très bonne nouvelle pour toutes les personnes qui ont choisi Box pour stocker leurs précieux fichiers. Les deux entreprises vont désormais travailler main dans la main et vous allez ainsi pouvoir éditer vos documents Office sans avoir besoin de quitter la plateforme.

Si ces quelques lignes vous rappelle quelque chose, c’est parfaitement normal car la firme de Redmond a signé un accord du même type avec Dropbox en avril dernier et le sujet avait d’ailleurs été évoqué par Setra dans cet article.

Microsoft se lance à l’assaut du nuage

Désormais, c’est donc au tour de Box de venir se placer aux côtés de Microsoft, pour le plus grand bonheur de ses utilisateurs.

Les internautes n’auront ainsi qu’à se connecter à leur compte Box et à cliquer sur le bouton adapté pour ouvrir leurs documents Office dans le navigateur. A partir de là, ils pourront modifier leur contenu et les enregistrer dans la foulée dans leur espace de stockage en toute transparence.

Plus besoin de télécharger ou de transférer quoi que ce soit, en somme. Et le plus beau, dans l’histoire, c’est que l’outil propose exactement la même interface et les mêmes fonctions qu’Office 365. Si vous utilisez déjà la solution, alors vous vous sentirez comme chez vous.

Même chose depuis la suite puisqu’elle vous permettra aussi d’explorer le contenu de votre Box pour aller chercher vos documents. Le partage sera de mise, pour favoriser le travail en équipe.

Si l’on en croit la note publiée sur le blog de l’entreprise, alors Box hébergerait à l’heure actuelle plus d’un milliard de documents Office. Cette annonce risque par conséquent de faire de nombreux heureux.

Quoi qu’il en soit, il s’agit encore d’une belle opération pour Microsoft. Ce nouveau partenariat va lui permettre de toucher un nouveau public et d’imposer encore un peu plus sa suite sur le marché.

Aux dernières nouvelles, Box comptait effectivement plus de 32 millions d’utilisateurs répartis aux quatre coins du monde.

(Source)

Twitter : GIFs, Vines et vidéos arrivent en lecture automatique

Sur son blog, Twitter a annoncé l’arrivée de la lecture automatique des vidéos. Une fonctionnalité similaire à celle qu’on retrouve chez Facebook et qui devrait plaire aux annonceurs.

Twitter écoutent ses utilisateurs…

Selon le réseau de microblogging, « les utilisateurs étaient 2.5 fois plus susceptibles de préférer les vidéos en lecture automatique que d’autres méthodes de visionnage », une donnée qui a motivé le choix de Twitter d’introduire le format vidéo autoplay sur sa version Web, iOS et prochainement sur Android. Plus que les statistiques, c’est surtout un moyen pour Twitter de se mettre au niveau de ses concurrents que sont Facebook et Instagram.

Désormais, vous verrez les vidéos de votre timeline se lancer automatiquement sans le son. Il faudra cliquer sur la vidéo pour la voir avec le son et en plein écran.

Si l’option sera activée par défaut, Twitter insiste sur le fait qu’on pourra, via les paramètres, désactiver cette fonctionnalité ou choisir de ne lancer automatiquement les vidéos que lorsqu’on est en présence d’une connexion Wi-Fi.

Autre point intéressant, l’autoplay sera automatiquement désactivé pour empêcher les surcoûts et les performances de navigation ralenties, si on se connecte depuis un endroit où le coût des données Internet est élevé ou avec une bande passante faible. Twitter n’a cependant pas précisé les zones concernées.

… et le marché

L’autre annonce de ce billet concerne les annonceurs puisque cette nouvelle fonctionnalité s’accompagne d’un nouveau standard pour facturer le nombre de vues. Désormais, Twitter considère « un visionnage facturable seulement lorsqu’une vidéo sera visible à 100% sur l’appareil de l’utilisateur, et aura été visionnée au minimum 3 secondes. »

En plus de la préférence des utilisateurs pour les vidéos en lecture automatique (2,5 fois plus), Twitter insiste sur le fait que les utilisateurs se rappellent davantage des vidéos en autoplay (+14% de mémorisation des vidéos par rapport aux autres formats vidéo) et explique avoir constaté « une hausse de 7% du taux de visionnage des Vidéos Sponsorisées ».

Pour rappel, Facebook a introduit les vidéos en lecture en 2013 et génère aujourd’hui environ quatre milliards de vidéos vues par jour contre un milliard l’an dernier.

Après l’amélioration de sa messagerie, c’est au niveau des vidéos que Twitter évolue et le petit oiseau bleu dans le rouge depuis quelques mois, ce qui a conduit à l’éviction de son directeur général, espère rassurer et à nouveau séduire.

(Source)

Sony explique pourquoi il n’y aura pas de rétrocompatibilité sur la PS4

Les explications du responsable de PlayStation Europe.

L’une des annonces les plus marquantes par Microsoft durant le salon E3, c’est celle de la rétrocompatibilité de la Xbox One. En substance, il sera bientôt possible de jouer à des jeux vidéo conçus pour la Xbox 360 (mais pas forcément tous) sur la console Next-Gen de la firme de Redmond. Actuellement, une centaine de titres est évoquée.

Par ailleurs, l’annonce de Microsoft a peut-être provoqué une interrogation chez les utilisateurs de la PS4 : pourquoi Sony n’a-t-il pas fait la même chose avec sa console Next-Gen ?

Interviewé par le site MCV, le directeur de PlayStation Europe, Jim Ryan, a tenté d’expliquer ce choix. « C’est une approche légitime », explique-t-il, « et s’ils cherchent à attirer les joueurs Xbox 360 sur leur nouvelle plate-forme, c’est finalement très logique ».

Mais Sony, semble-t-il, va faire l’impasse sur cette fonctionnalité pour de nombreuses raisons. Le directeur est d’avis que la rétrocompatibilité pourrait causer des problèmes. En tout cas, il s’y attend.

Et puis, comme l’explique ce dernier, Sony a déjà essayé cette fonctionnalité sur la PS3 qui pouvait lire les jeux pour PS2. Mais bien qu’elle ait été demandée, Jim Ryan affirme que la fonctionnalité n’a finalement pas été très utilisée.

Sony préfère travailler sur d’autres fonctionnalités pour se différencier. Et comme « il n’y a pas assez d’ingénieurs dans le monde pour tout faire », il a préféré oublier la rétrocompatibilité.

Cependant, l’employé de Sony ne critique pas les choix de Microsoft. « Leur choix est légitime, mais le nôtre aussi. Quelque part, c’est même bien d’avoir des points de différenciation entre les deux machines, et les gens choisiront l’approche qui leur sied le plus », peut-on lire.

(Source)